Comment savoir si je suis amoureux/se ?

Suis-je amoureux(se) ?

femme sérieuse salope en colère avec des lunettes avec scepticisme à la recherche

« Quand je désire sexuellement mon partenaire, quand je l’admire, et qu’il ne cesse de me surprendre, quand nous nous disputons avant de nous réconcilier, quand je me sens coupable de l’avoir blessé, quand je prends soin de lui ou que j’ai peur de le perdre, quand je me sens fier de moi en sa présence et surtout quand tous ces élans conjugués me transportent vers lui, je me dis que je suis sans hésiter le plus amoureux(se) des hommes/femmes. » Docteur Nasio (médecin psychiatre, psychanalyste d’enfants, d’adolescents et d’adultes à Paris).

C’est la réponse que je pourrai adresser à Clarisse âgée de 31 ans, venue me voir pour interroger sa difficulté à savoir si elle est vraiment amoureuse et si elle peux s’engager sans crainte.

Ayant rompu la relation deux fois à la veille de ses fiançailles, et cependant toujours amoureuse, elle ne sait plus où elle en est.

Nous interrogeons alors les peurs, les freins, les fausses croyances qui l’habitent.

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SEDUIRE A 50 ANS ET PLUS …

Cette semaine j’ai fêté mon anniversaire …. Un de plus qui m’entraine inexorablement vers la soixantaine.

1 année de plus

Partie faire mon petit jogging, car à mon âge il FAUT s’entretenir, je me laisse distraire par un homme, casquette vissée sur la tête qui me salue : petit sourire … Je me sens tout à coup un peu plus jeune.
Je le croise ainsi deux fois et deux fois même petit salut ! … Décidément c’est un cadeau qui fait du bien en cette prise d’année de plus !

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Allons-nous assister au premier grand scandale médical et éthique du XXI ème siècle ? »

Transidentité :« Allons-nous assister au premier grand scandale médical et éthique du XXIé siècle ? » (Caroline Eliacheff-Céline Masson)

La rentrée est passée suscitant de nombreuses interrogations chez les parents et les professeurs :

“Aurons-nous suffisamment d’enseignants ?”

“Ces derniers tiendront-ils le coup ?”

“Comment susciter une attention maintenue des élèves ?”

“La pandémie va-t-elle repartir ?

Au milieu de toutes ces sujets soulevés, apparait dans les média un nouveau questionnement au sujet des thèmes LGBT :

 “Nos enfants sont-ils endoctrinés ?”

Je lis même que l’on parle de grand endoctrinement ?

A l’école je ne sais pas. (quoique…, conf la circulaire du 30 septembre 2021).

Mais sur les réseaux sociaux je peux me prononcer en tant qu’’éducatrice à la vie relationnelle affective et sexuelle : Oui !

Cette « théorie » fait écho à une de mes lectures de cet été et m’interroge, m’inquiète …

« La fabrique de l’enfant -transgenre » de Caroline Eliacheff, pédopsychiatre et psychanalyste et Céline Masson psychanalyste, professeur des universités au centre d’histoires des sociétés, des sciences et des conflits.

Voici une partie de la 4ème de couverture :

« Le poids de la culture LGBTQI et l’influence des réseaux sociaux ont donné une visibilité nouvelle à la « dysphorie de genre », ou sentiment d’être né dans le « mauvais corps ». Émancipation progressiste ou phénomène d’embrigadement idéologique ?… »

 Il est très important de souligner que ce qui est interrogé n’est pas le choix des adultes transgenres, leur choix de vie ne supporte aucun jugement.

Ce qui est interrogé ce sont ces professionnels qui se spécialisent dans la transidentité chez l’enfant …Ce qui est questionné c’est qu’en un coup de scalpel et d’hormonothérapie vous soyez transformé « en garçon ou en fille à la fois dans la chair et sur les réseaux sociaux »

Ce livre fait réfléchir, s’interroger sur : « cette différence anatomique (et génétique) entre les sexes (qui) semble être un obstacle majeur à un épanouissement supposé ; s’en affranchir serait libérateur »

Pour l’instant, les situations d’enfants souffrants de dysphorie de genre sont rares. Par contre, les choses sont différentes à l’adolescence.

On connait la fragilité adolescente, un narcissisme défaillant, une quête identitaire, une estime de soi bousculée. Or ce que nous disent les autrices, entre autres, c’est que :

« Le jeune fragilisé par les affres d’une recherche identitaire, en recherche de repère, va, via les vlogs (vidéoblogueurs) trouver des réponses qui vont renforcer son narcissisme. » Et quelles vidéos ! … Lisa Littman, gynecologue et chercheuse universitaire américaine, suite à une étude/enquête, évoque en substance que : « Le surinvestissement des réseaux sociaux à l’adolescence aurait un impact sur le déclenchement de la dysphorie de genre à cette période de la vie »

Caroline Eliacheff et Céline Masson décrivent des situations d’emprise pour ces jeunes, qui se retrouvent appartenant à une communauté où ils se sentent valorisés dans leur choix, eux qui sont victimes d’une société transphobe ! … Ils parlent dans cette communauté un langage commun qui les lient encore plus, ils s’éloignent (ou sont éloignés …) bien souvent de leurs familles, faisant plutôt confiance aux influenceurs transgenres qui deviennent leur « nouvelle famille ».

Ces familles qui elles aussi subissent des pressions :

« Vous voulez une fille morte ou un garçon vivant ? »

 La question est alors posée : « Allons-nous assister au premier grand scandale médical et éthique du XXIé siècle ? » Pensons aux profits très importants que vont s’octroyer certaines industries pharmaceutiques…

Ce livre bouscule, questionne : merci aux autrices.

Fantasmes, projections d’adultes ? Quelle société voulons nous “fabriquer” ?

 Comment aider nos enfants à se construire si notre société est si peu soucieuse de la fragilité de l’enfance de l’adolescence ?…

La rentrée : trop de stress !

Allongée sur ma serviette, je goûte à mes dernières heures de vacances …

Lorsque je reçois une bonne giclée d’eau. Je me relève brutalement et me trouve face à un adorable petit garçon, d’environ 4 ans, qui me regarde et me demande : « Tu stresses » ?

« Le stressanglicisme signifiant “tension” issu du latin stringere (“mise en tension”) n’est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l’organisme face à son environnement. »

À la vue de cette définition j’aurai pu lui répondre oui …

Or cette interpellation m’interroge. Tout d’abord ce petit garçon : ce terme de stress lui est visiblement familié. Lui est-il souvent adressé ? Son entourage est-il stressé ?

En cette semaine de rentrée beaucoup d’enfants vont être stressés.

Un grand nombre d’entre eux retrouvent cependant un univers connu, connaissent l’enseignant ou l’enseignante qui va les accompagner durant l’année.

La plupart n’ont pas changé d’environnement

Certains il est vrai comme les élèves de CP, 6ème, 2nde, arrivent dans des niveaux où il  y a une part d’inconnu, ou ils ont le sentiment d’être redevenu les tous petits !

Pour d’autres c’est un déménagement : un changement radical d’environnement.

Or, Ce stress-là me semble-t-il n’est pas à interroger, il est … normal ! voir même nécessaire car il va permettre à l’enfant d’aller puiser au fond de lui des ressources pour canaliser ce stress, pour le réguler : un véritable apprentissage, nécessaire pour grandir.

Dans le magazine Elle du 23 aout 2022 on peut lire :

 Une étude réalisée par les entreprises GoStudent et Kantar a montré que 87 % des parents étaient stressés à cette occasion.  L’enquête de GoStudent révèle que le sujet le plus angoissant pour 33 % des adultes n’est autre que le changement de niveau, le passage en classe supérieure. Autre raison du stress : l’organisation. Un point clé lors de la rentrée pour les parents entre les fournitures, les papiers administratifs et le trajet à l’école : la reprise de l’école peut parfois s’apparenter à un véritable parcours du combattant. En effet, l’étude souligne que ces chiffres « illustrent le fait que la charge mentale des parents s’intensifie à la rentrée en raison de leur rôle majeur dans cette période de changement. Mon enfant, sera-t-il au niveau ? Va-t-il rattraper ses lacunes en maths cette année ? L’anxiété liée à la réussite scolaire de l’enfant refait surface chez les parents dès le mois de septembre ».

 « Les enfants récupèrent ce qu’ils “sentent” chez les parents. Et l’on oublie de leur dire que ce stress n’est pas le leur. » nous dit Véronique Lemoine Cordier, psychologue. Et elle ajoute : « Il faut aussi bien dire aux parents qu’un rien déstabilise un enfant… mais qu’un rien le restaure. Ça va très vite dans un sens comme dans un autre heureusement aussi. »

Nous qui sommes des parents un peu, ou très stressés, conscients que les enfants sont des éponges, soyons vigilants à leur offrir en cette période de changement, un regard, une parole, un geste sécurisant, leur permettant d’affronter cette nouvelle étape, libérés des projections stressantes et ingérables qui nous appartiennent à nous adultes.

Il/Elle est égoïste : pas si simple – Quand le moi tue le nous

“Il/elle est égoïste” – Pas si simple !

Quand le moi tue le nous !

 

MOI/NOUS

 

Partages, échanges, confidences, communication, dialogue etc ….

Tous ces mots dont nous rabattent les oreilles les professionnels du couple, nous semblent aller de soi dans nos vies conjugales. C’est évident, bien compris, et cependant il est des jours ou ce n’est pas si simple, voir même impossible.

Impossible en effet de laisser la place à l’autre !

Alors dans un couple comment faire, lorsque le MOI l’emporte sur le nous ?

En entretien, mais pas que … je remarque bien souvent que beaucoup de personnes commencent leur phrase par « MOI, je pense, MOI je crois, MOI  j’aime  … »

Moi, moi, moi !! … comme s’il fallait appuyer, insister, de peur de ne pas être entendu, reconnu dans ce que l’on vit.

Cette peur de ne pas être reconnu, fait que bien souvent dans des relations de couple, il est difficile de laisser un espace à l’autre.

On pourrait en effet perdre sa place !

 

LA PLACE

 

Or l’accueil, l’écoute de ce que pense ou dit notre conjoint est impossible si ce sentiment de peur vient s’immiscer dans notre couple.

Lors de mes entretiens, je constate que cette peur, cette attitude de crispation sur ce MOI, est lié au fait de ne pas avoir eu le sentiment d’avoir eu sa place : en famille, dans une fratrie, scolairement ou au moment de l’adolescence lorsqu’il s’agit de vivre en bande, professionnellement …

Ou bien, il nous a été donné tellement de place (enfant unique, valorisation excessive, « popularité ») qu’il est difficile une fois en couple d’en laisser un peu à l’autre.

 

DANS SON MONDE

Plus grave, des évènements traumatisants (inceste, accident…) aussi peuvent empêcher une ouverture à l’autre. On reste inconsciemment recroquevillé sur sa douleur.

Dans tous ces états de faits, la communication devient compliquée, le ton est défensif, on argumente, on justifie … on doit protéger son « pré carré », comme si l’on avait peur d’être dilué dans la pensée ou la vie de l’autre. Nous sommes dans des bulles…

Il ne s’agit pas de tout accepter, mais juste de considérer la demande, l’avis de notre conjoint.

Osons l’entendre, sans élaborer dans notre esprit une contradiction, une objection qui nous donne le sentiment d’exister !

Cette difficulté se retrouvera aussi dans la sexualité, puisque c’est une communication.

Je prends pour MOI, ou garde pour MOI … Dans les deux cas je contrôle pour MON plaisir.

De quoi ai-je peur ? Voici la question à poser, à se poser, à discuter.

Puis prendre conscience de ce fonctionnement qui est pour la plupart du temps, tout à fait inconscient, c’est notre langage … Travailler l’estime de soi, la confiance en soi, en l’autre …

Dans l’unique but d’être plus heureux, pour que la relation passe alors au NOUS : deux entités bien distinctes, enrichies de l’apport de l’autre.

ENSEMBLE

 

 

 

Désir ou besoin : une différence ?

Bien souvent, dans mon cabinet, j’accueille des personnes ayant beaucoup de mal à exprimer leurs désirs, leurs besoins et je constate que nous ne savons pas très bien faire la différence entre ces deux termes :  besoin et désir.

Desir - Besoin

Ecoutons ce que nous dit ce professeur de philosophie Simone Manon : “Le désir, fait intervenir la conscience, la représentation, l’imaginaire. Désirer c’est tendre vers un objet que je me représente comme promesse de plaisir.  Nos besoins par contre, sont là pour répondre à une nécessité vitale, ils doivent être impérativement satisfaits au risque de compromettre l’équilibre de la vie ». (Simone Manon, professeur de philosophie)

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Inceste : Enfin on en parle…

Enfin on parle ….  !                                   enfant maltraité

Enfin on parle de l’inceste et pas que dans les cabinets des conseillers conjugaux, thérapeutes de couples, psychologues, psychiatres etc …

C’est aujourd’hui un sujet qui est jeté à la face de tous, un constat terrifiant, insupportable : oui l’inceste est une pratique courante, puisqu’en moyenne deux élèves par classe en sont victimes !

On ne le dira jamais assez, c’est une déviance pratiquée dans tous les milieux.

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Séparé(e)s, seul(e)s : Choisis la vie !

Aujourd’hui ce sont des souhaits que j’émets !

cadeaux

 

Je vois arriver cette période de fête de Noël avec beaucoup d’appréhension en pensant aux personnes que j’accompagne, qui sont dans une grande souffrance.

Seul(e)s, ou entouré(e)s, la blessure de la séparation se ravive bien souvent lors de cette fête familiale.

Cet article s’adresse donc à toutes les personnes qui sont broyées par l’annonce d’une séparation, qui ont le coeur broyés d’avoir pris la décision de partir. A toutes celles qui se posent la question …

Que l’on quitte ou que l’on soit quitté, c’est toujours un évènement qui vient percuter le cœur de chacun.

homme pleurant

L’on nous fait croire, qu’une séparation n’est pas si terrible… Qu’on s’en remettra…. Que c’est arrivé à d’autres.

Alors oui une séparation c’est toujours terrible, c’est un désamour et cela fait mal de ne plus se sentir aimé.

 Oui c’est arrivé à d’autres !

Or, Il(elle) ne vous raconte pas les soirées, les journées de désespoir, les heures de questionnements qui tournent en boucle sans réponses : Si je pars serais-je plus heureux(se) ? Comment vont réagir les enfants ? Qui garde la maison ? Est-ce que je fais le bon choix ? Qu’est-ce que nous avons raté ? etc…

 

Et oui, heureusement vous vous en remettrez. Ce sera surement long, éprouvant.

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MAL-ETRE DES JEUNES, A QUI LA FAUTE ?

MAL-ETRE DES JEUNES, A QUI LA FAUTE ?

 

Je termine l’article du magazine Elle (4 septembre 2020) de Serge Hefez : « La transidentité n’est pas un caprice d’enfant gâté »

Elle N°3898 du 04 septembre 2020 à télécharger sur iPad

 

Je lis sous la plume de Monsieur Hefez :

« En Suède depuis 10 ans, on assiste à une augmentation vertigineuse des cas adolescents qui sont mal dans leur genre, qui ne se reconnaissent pas en tant que garçons ou fille. Le ministère de la santé suédois parle d’un bond de 1500% dans les diagnostics de « dysphorie de genre* »

Un malaise m’habite …Cet article m’interpelle vraiment !

Pourquoi ?

Pourquoi nos jeunes sont-ils confrontés à de tels questionnements, de tels mal-être ?

Que transmettons nous à notre jeunesse ?

Je ne peux m’empêcher de faire des liens : Ce pays,  la Suède, dont parle monsieur Hefez, ne prône-t-il pas depuis longtemps l’égalité des sexes dès l’enfance,  n’est-ce pas le pays qui a décidé de  bannir les classiques, comme cendrillon, la Belle au bois dormant,  le pays où  l’école maternelle Egalia « n’appelle plus ces élèves que par «lui» ou «elle», utilisant à la place le terme «ami» neutre pour s’adresser à ses petits élèves dans le cadre d’un effort global visant à épargner aux enfants les stéréotypes de genre qui peuvent les forcer à se conformer à certains rôles et entraver leur expression personnelle. »(Time)

Et ce pays s’étonne de ce bond de 1500% de dysphorie de genre, du malaise que vivent leurs jeunes ?

Plus loin, Serge Hefez écrit cette phrase : « Ce malaise que l’on éprouve lorsqu’on vit dans le sexe qui vous a été assigné à la naissance » ?

Assigné ? Mais n’est-il pas normal, naturel de donner, d’attribuer, des noms à ce qui nous entoure et ceci afin de nous repérer, de repérer l’autre, la chose … mais il est peut-être là le souci, c’est : « le repère ! »

Un repère pourrait-il entraver notre liberté ? …

Et cependant, n’est -ce pas terriblement insécurisant pour un jeune de s’entendre proposer : « tu es qui tu veux, homme, femme ou : ni l’un ni l’autre ou de temps en temps l’un et de temps en temps l’autre … »

Serge Hefez parle de « la réappropriation du corps »; Mais quelle réappropriation ?

Faire ce que l’on veut de son corps, soit, pourquoi pas : épilée pas épilée, tatouages, piercings etc…

Femme, Tatouages, Femmes, Modèle

Mais ici se réapproprier son corps, c’est en définir soi-même l’essence même … inviter les jeunes à contourner, à lutter contre leur nature propre.

Que fait-on à 4-6-13-16 ans d’un tel discours … Comment peut-on se construire ?

Plus loin : « l’homme du XXI siècle est psychiquement modifié (…) J’ai vu le psychisme se structurer différemment tant sur le plan conscient qu’inconscient, au niveau des fantasmes »

Une question :  qui modifie le psychisme, qui nourrit les fantasmes ? : Nous en tant que parents, les media, la société ou du moins ceux qu’on entend le plus, nos politiques qui influencent, ont un impact puissant et détermine (!) trop souvent l’air du temps…

Oui il y a une diversité sexuelle, oui il est nécessaire de la reconnaitre, d’en parler, de la respecter, l’accepter. Et sortir du jugement qui enferme, qui peut détruire …

Mesurons-nous la responsabilité que nous avons-nous, adultes, dans l’apprentissage de cette sexualité ?
L’identité sexuelle de nos enfants, on le sait, se construit par le regard, l’attitude, le discours que nous avons sur et avec eux.

Encore une fois, ce sont nous les adultes qui structurons cette identité …

Que voulons-nous ? Posons-nous la question ?

Personnellement ce que je souhaite c’est que nos jeunes puissent se construire dans un cadre sécurisant, que nous arrêtions de leur faire croire que l’homme est tout puissant, sans limites. Qu’il est facile et anodin de choisir…

Cette liberté qu’ils croient obtenir en choisissant. Choix qui en fait n’est pas libre puisque nos jeunes baignent dans une société ou certains adultes posent des injonctions (Faire des choix en fonction de son genre est considéré comme réac !) aussi fortes que celles posées il y a (finalement) assez longtemps : L’homme chasse, la femme enfante !

Dans le numéro du mois suivant, le magazine Elle fait une belle place aux violences faites aux enfants.

Mais ne pourrait-on pas, là, dans ce numéro ci, parler de violence faites à nos jeunes lorsque l’on vit dans une société où l’on pousse des jeunes à faire des choix qui déterminent leur sexualité à vie : « 20% des jeunes qui subissent des opérations les transformant sont des regretteurs,» alors que l’on sait que le cerveau d’un jeune n’atteint vraiment sa maturité adulte que vers 24 ans !Frères Et Sœurs, Frère, Sœur, Amis

Notre mission à nous adultes ne serait-elle pas d’aider nos jeunes à s’émerveiller de ce qu’ils sont, à comprendre comment ils fonctionnent, et à y trouver un plaisir, une joie qui les fera grandir en liberté, puisqu’ils deviendront alors ce qu’ils sont appelés à être dans toute leur plénitude.

*La dysphorie de genre est un terme médical utilisé dans le manuel de l’Association américaine de psychiatrie (APA) pour décrire la détresse de la personne transgenre face à un sentiment d’inadéquation entre son sexe assigné et son identité de genre.

 

 

 

LE COUPLE CONFINE : ESPOIR !

LES COUPLES CONFINES : ESPOIR !

 

Aujourd’hui j’ai reçu un premier appel au secours : une claque partie trop vite, trop forte …

Combien y en aura -t-il de couples abimés, détruit par ce confinement ?

 

Enfermement

 

Le couple est en danger … tous les couples …

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